Qui vous accompagne ?

Équité - le cheval juste

Pourquoi je choisis de travailler avec Claire VANDENBULCKE ?

Mes compétences :

Parce que tu ne trouvera pas ailleurs la combinaison de compétences : Enseignement – éthologie- travail sur la posture et le fonctionnement – équitation – lecture comportementale – empathe mature

  • Enseignement : BEES1°depuis 1998, je suis diplômée d’état et j’enseigne à tous publics depuis 25 ans
  • Éthologie : pas « l’équitation éthologique » , l’éthologie science du comportement. Pour avoir déjà une idée précise du répertoire comportemental « normal » de l’espèce. Utile pour voir ce qui est anormal…
  • Formée en équipédagogie Akita : travail trés profond sur la posture à cheval et avec le cheval (posture physique & posture morale)
  • Équitation : compétitrice en endurance CEI et en dressage, j’ai eu la chance de recevoir l’enseignement de grands maîtres du dressage
  • Lecture comportementale : pour comprendre ce que dit le cheval et savoir quoi répondre
  • Empathe mature : j’ai la chance d’avoir apprivoisé l’empathie émotionnelle et cognitive mais également la lecture corporelle et énergétique, ce qui me permet une vision globale de l’être vivant que je vois, qu’il soit cheval, humain, plante ou minéral.

academie arcand suivi 1
academie arcand suivi

Vous cherchez une relation équilibrée, forte et durable avec votre cheval ?

 Une équitation de justesse de légèreté et d’équilibre ?

Alors bienvenue !

Ma mission :

Quel est mon parcours et pourquoi je te propose cette expérience exceptionnelle ?

Si on regarde les choses du point de vue des « cases » officielles, je suis « éducateur sportif option : activités équestres », c’est ce qui est marqué sur mon diplôme d’état. Bon c’est une première piste… je suis donc officiellement apte à donner des cours d’équitation contre rémunération avec la bénédiction des législateurs de ce pays.

Oui, mais… qu’est ce que j’en ai fait ??

Donner des cours collectifs à tous publics en centre équestre, faire passer des galops, emmener des élèves en concours de dressage, CSO, complet, Horse-ball, endurance, etc. J’ai fait cela durant de nombreuses années… ce n’est plus mon métier.

Avoir mon propre poney-club, proposer des activités variées, des cours en petits groupes, des cours particuliers d’équitation juste, douce et légère qui permettent aux propriétaires de chevaux de gagner en concours avec des équidés ayant de tous petits moyens physique, s’imposer peu de chevaux et poneys pour pouvoir s’en occuper correctement, j’ai fait aussi… ce n’est plus mon métier.

Faire de la compétition de dressage avec un croisé selle français/fjord imprévisible et potentiellement dangereux et un Oldenburg qui s’était réfugié dans l’autisme pour fuir son passé de compétiteur de haut niveau, j’ai fait. Les deux chevaux ont tout gagné contre toute attente, m’ont beaucoup appris mais ça ne sera jamais mon métier.

Faire de l’endurance jusqu’aux petits internationaux avec une jument sans fers, sans mors, sans arçon, se faire regarder comme une paria par les organisateurs, les vétérinaires et les autres concurrents, j’ai fait. La jument s’est qualifiée dans de très bonnes conditions encore une fois contre toutes attentes, j’ai énormément appris, je suis heureuse si on a pu ainsi faire avancer la cause des chevaux mais ça n’est absolument pas mon métier.

Travailler des chevaux de CSI pour de riches propriétaires, sans mors, uniquement sur le plat, lever l’une après l’autre leurs raideurs, combler patiemment leurs carences en dressage en allant dans la lenteur, en cherchant d’abord la perfection de l’équilibre et de la décontraction au pas avant de les envisager au trot, en attendant la perfection au trot avant de travailler au galop en appliquant le « cherchez la pureté des 3 allures, le reste n’est que peu de choses » d’Oliveira, j’ai fait. Après 6 mois de travail, les chevaux qui font la meilleure saison de CSO de leur carrière, et la propriétaire est aux anges… c’est passionnant de pouvoir travailler des chevaux de cette qualité mais préparatrice de chevaux n’est pas mon métier.

Mettre en place à l’époque le premier centre équestre entièrement sans fers, sans mors, sans arçon, imposer l’arrêt du passage des galops, la réintroduction du travail à pied dans les cours, la révision de l’alimentation et des conditions d’hébergement des chevaux dans cette structure là, j’ai fait. Gérer la transition pieds nus de la quarantaine d’équidés tout en conservant l’activité de la partie « tourisme équestre » du centre, réussir à avoir des chevaux aptes à participer et à se qualifier en endurance dès leur première année de déferrage, suivre par la suite les cas plus ou moins compliqués que l’on nous amenait pour les passer pieds nus, j’ai fait. J’ai immensément appris, ce projet fut d’une richesse incroyable tant humainement que techniquement mais ce n’est pas mon métier.

Remettre sur pied ou rétablir la communication avec des dizaines (centaines ?) de chevaux et poneys en murés dans la souffrance muette des chevaux, la souffrance des proies qui fait qu’ils ne peuvent l’exprimer car leur instinct leur interdit, redonner la confiance à des chevaux en panique, la douceur à des chevaux dangereux, réharmoniser les musculatures, soigner les métabolismes déréglés, les traumatismes engrammés, j’ai fait et malheureusement je fais toujours mais ce n’est pas mon métier.

Mais alors… ??

Mon métier n’est pas ce que je fais. Ce que je fais s’appuie certes sur l’expérience que toutes ces situations m’ont donnée, expérience nécessaire à tout « homme de cheval » pour acquérir le recul et la stabilité nécessaire face aux chevaux, animaux puissants et rapides mais aussi à leurs humains, pas toujours ajustés à leurs équidés.

Mon métier, c’est ce que je ne fais pas. C’est l’espace neutre et impérativement vide de tout jugement, attente, commentaire ou projection que je crée en moi à chaque rencontre, qu’elle soit humaine ou équine. Espace d’écoute absolue qui me permet de ressentir l’autre dans ses forces et ses faiblesses, sa tranquillité et son agitation intérieure, ses ombres et ses lumières.

Mon métier, ce n’est pas de trouver ce qui ne va pas chez un cheval, un cavalier ou un couple cheval/cavalier mais de percevoir ce qui va pour créer les conditions propices au développement de cette étincelle d’envie d’aller bien.

Mon métier c’est de considérer toutes les informations comme… des informations et non des vérités absolues et immuables en ne perdant jamais de vue le caractère impermanent de toute chose. Ce concept central dans la philosophie bouddhiste est si vérifiable dans la nature cyclique de tout ce qui nous entoure !

Je donne une grande importance à cet état d’esprit afin de toujours laisser la place nécessaire à l’émergence de la réponse adaptée à chaque individu à chaque moment et éviter tant bien que mal de voire les choses uniquement au travers du filtre de mes croyances du moment (les croyances n’échappent pas à l’impermanence…)

C’est l’alliance de mon expérience avec cet état d’esprit qui crée Équité. Expérience et état d’esprit étant indissociables car l’une sans l’autre créent des approches peu recommandables, l’esprit et la matière se devant d’être au point d’équilibre pour être stables.

Mes enseignants et mentors :

Quelques unes des merveilleuses personnes rencontrées ces dernières années. Gratitude à vous toutes et tous !

Travail sur la posture :

  • Arlette Agassis
  • Véronique Corbeau-Passadori

Obstacle/hunter:

  • Nicolas Sanson (ENE)
  • Jacques Robert

Travail sol/liberté :

  • Jean Marc Imbert
  • Jean Francois Pignon
  • Fréderic Pignon
  • Linda Tellington Jones
  • Marie Madec
  • Matthias Geysen

Longues rênes :

  • Jean Yves Le Guillou

Voltige :

  • Jean-Michel Poisson (ENE)

Dressage :

  • Lionel Dutranoy
  • Magali Delgado
  • Marie Josèphe Petiteville (juge dressage Candidat National Elite)
  • Raphaël Saleh (juge dressage international)
  • Catherine & Michel Henriquet
  • Bernard Sachsé